Lorsque vous accédez à la retraite, vous aurez forcément besoin d’une stabilité financière. Alors, dans le but de garantir cette période, il serait mieux de souscrire à une assurance. En cela, l’épargne la plus adaptée reste le 3e pilier. Dès lors que vous n’aimeriez pas être victime d’une instabilité financière durant cette période, il est temps d’apprendre plus sur le 3e pilier. Vers qui faut-il signer un contrat du genre ? C’est dans ce texte.
Quelques mises au point sur le 3e pilier
La signature de ce contrat reste facultative, mais nécessaire. Mieux, la confédération en fait carrément une recommandation. Pour en savoir plus au sujet de 3e pilier, cliquez sur http://assurance-retraite.ch/. En effet, le principe de ce contrat est très simple. Il vous est juste demandé de réaliser des épargnes que vous toucherez une fois en retraite. Et c’est une cotisation qui reste en dehors de celle des pensions. Il peut aussi être reconnu selon deux volets. Le 3A et 3 B. La première est stricte avec à son actif des aubaines fiscales. Par contre, la seconde est un plus ouvert. Avec elle le souscrivant à la possibilité de retirer comme vous déposez. C’est donc dans cette logique que ces derniers l’ajoutent souvent au 3 A.
Le 3e pilier avec une banque
La première option pour faire cette adhésion vous la connaissez déjà. Il faut juste aller dans la direction des compagnies en charge de cette souscription. L’autre possibilité que vous avez est la banque. Toutefois, ces deux instances offrent de diverses propositions. Dans la logique des compagnies d’assurance, les décisions sont strictes, ce qui reste différent du côté des banques. Cela dit, quelques autres ressemblances demeurent. Puisque les deux se complètent parfois. D’où, le 3a qui vous sera offert du côté de la banque, mais avec une non-accessibilité à cause de l’assurance. Mais c’est sans oublier que vous serez exonérés des frais d’impôt et bénéficierez des avantages fiscaux.